06 décembre 2005

 

AU CLAIR DE LA LUNE

Au clair de la lune,
Mon ami Pierrot,
Prête-moi ta plume
Pour écrire un mot.
Ma chandelle est morte,
Je n'ai plus de feu,
Ouvre-moi ta porte,
Pour l'amour de Dieu.

un forward parmi tant dautres :

Lorsqu'un simple ami te rend visite, il agit comme un invité. Un vrai ami ouvre ton réfrigérateur et fais comme chez lui
Un simple ami ne t'as jamais vu pleurer. Un vrai ami a les épaules trempés de tes larmes...
Un simple ami ne connais pas le prénom de tes parents. Un vrai ami a leurs numéros de téléphone dans carnet d'adresse
Un simple ami apporte une bouteille de vin pour ta fête. Un vrai ami t'aide à préparer la cuisine avant et reste après pour nettoyer.
Un simple ami déteste lorsque tu l'appelle après qu'il soit allé se coucher. Un vrai ami te demandera pourquoi tu a mis tant de temps à l'appeler.
Un simple ami recherche à parler de tes problèmes. Un vrai ami recherche à t'aider pour tes problèmes
Un simple ami se pose des question au sujet de tes histoires de romance. Un vrai ami te ferais du chantage avec.
Un simple ami pense que l'amitié st terminé quand il a un bon argument. Un vrai ami t'appelle après une dispute

Un simple ami attend de vous que vous serai toujours la pour lui. Un vrai ami s'attend à toujours être la pour vous

alors je peux parler des amis pour moi :
pour certain cest compliqué, mais en tk. jvas essayer dfaire de lordre là ddans car ça part dassez loin.


dabord, cest au secondaire que jai développé mes idées, et il y a évolution de secondaire 1 à 5.
ok, alors, le plus important pour moi était légalité de tous, la justice, et la liberté, trois grands principes qui devraient être universels mais... en tk.
et le fait daider son prochain vnait avec naturellement.
quand jen parle de même aujourdhui, jme dis quçest pareil pour tout lmonde, mais non, demandez aux autres, jy croyais, jen parlais toujours et je basais tout là dsus. cest bizarre.
alors, pour ce qui est des amis, bien sûr, ça ça entre dans la classe égalité : alors moi, je navais pas dami, tout lmonde était égal à mes yeux, cétait le but et cétait la réalité. avoir des amis, cest encouragé le favoritisme (et courir après un scandale des commandites...), ainsi linégalité des individus. moi, je me préoccupais autant de la vie de ma mère que celle dun ptit africain.
alors, au lieu davoir des amis, je connaissais du monde, javais des connaissances, et je mamusais avec du monde que je connaissais. je navais pas damis point.
ça cest lorigine.
en cours de route, la liberté sest jointe : avoir des amis, cest sengager et avoir des obligations, ce qui entrave la liberté. ne pas avoir damis ne signifie pas ne pas aider ou agir, ça signifie aider ou agir sans obligation, soit avec son coeur et honnêtement.
et puis, jai donné une importance au mot ami, en disant que pour moi, un ami cétait important, et je trouvais que certains (pas mal tout lmonde) avait lami facile en appelant plein dmonde leurs amis, alors un ami navait rien dspécial. dans ma tête, des amis cétait précieux et on ne pouvait en avoir tout plein, cest impossible. (ça cest pas moi qui la inventé quon compte les amis sur les doigts dune main, à lexception quon ajoute le mot vrai).
alors, ça peut être simple à voir, au lieu davoir des amis et des vrais amis comme à peu près tout lmonde, je vois ça comme des amis et du monde que jconnais.
mais je nai pas encore damis à cette époque, juste du monde que jconnais, pour maintenir légalité et assurer mes bonnes intentions lorsque jaidais ou avais du fun avec quelquun.
jusquà date, tout se tient.
ensuite vient lentrée au cégep, où je rencontre plein de nouveau monde qui, eux, partent à zéro avec moi et mes idées. et je ne mempresse pas de leur en faire part (je ne passais pas de temps avec eux, je passais mes temps libres avec les gars du secondaire).
alors, au cégep, bien sûr, il y a eu évolution, cest ben normal.
un mment dné, jcapote, je lâche le cégep et cest la période de mon méga down
par la suite, jaffirme : avec les années au cégep, je mintègre de plus en plus au groupe de carto, et avec le temps en général, je voyais des inégalités entre les personnes... comme si je devnais corrompu... et paf, jme sens pu innocent, je perds mes illusions...
alors avec le méga down vient la grande remise en question et la réorientation (ouh, jeu de mot (cartographe))
jétais plus ouvert que jamais (comparé à avant) à avoir des amis, mais toujours avec les mêmes définitions quavant
et là, je maprête à partir pour katimavik, alors il faut dire bye. et à ce moment là, 3 personnes avaient plus dimportance dans ma vie car on devnait de plus en plus proche et javais du fun, jétais bien avec eux, et cest à eux que je disais vraiment bye, que cétait le plus difficile. jai pensé avant dpartir de leur demander dêtre mes amis, mais je ne lai pas fait.
à katimavik, le monde a vite su qujavais pas dami, et certains trouvait ça triste car ils ne comprenaient pas : cest juste utiliser un mot différemment ou ne pas lutiliser. alors là, en tk, jleur ai parlé des trois personnes en question à qui javais presque demandé dêtre mes amis, et, en cours de route, je me suis engagé à leur demander dêtre mes amis lors de mon 48h lors duquel je suis revenu à ma maison.
alors, cest fait, voilà sébastien avec des amis ! méchante différence : encore là, ça fait bizarre à dire. par contre, je nme vante pas : je ne dirai pas qujai des amis sans quon mle demande, et je ne nierai pas si quelquun dit qujai pas damis.
alors continua katimavik, certaines personnes espérant devnir mon ami un jour car cela signifiait quelque chose de spécial pour eux, mais non, ça ne sest pas fait.
cest pas en dmandant quça va sfaire, car je sentirais quce srait forcé, pour faire plaisir à quelquun, faut quça vienne de mon fond et qujle sente. aussi, ce nest quun mot, come on, faut pas sen faire avec ça, le fait dêtre associer à un mot ne change rien, ça voudrait juste dire quon a franchi une ligne (qui au fond nexiste pas), alors du moment qule mot est là ou pas, on est au même endroit par rapport à la ligne : alors les choses sont ce quelles sont, amis ou pas.
à la fin, jai fait la grande demande à une personne, cest tout. cest assez. cest rien contre les autres, cest quelque chose pour la personne en question. les autres nont pas reculé, cest la personne qui a avancé, ou plutôt qui a juste un titre, car le titre ne fait pas avancer.

ça la du sens nest cpas ?

ici me vient la question existentielle de, est ce que je les nomme ces personnes en question :
est-ce quelque chose de trop personnel ? (pour moi)
est-ce honteux dêtre un ami de sébastien ? (pour eux)
ok, jles nomme, mais en ptit : mélissa, marilène, hugues, et marie christine


saloute

Commentaire(s):
JE SUIS EXTRÊMEMENT FIER D'ÊTRE L'AMIE DE SÉBASTIEN MARTINEAU, CA M'A BEAUCOUP TOUCHER QUAND TU NOUS A FAIT TA GRANDE DEMANDE ET ÊTRE UN VRAI AMI C'EST AUSSI PENSER À LUI, MÊME QUAND ON EST PAS EN SA PRÉSENCE

JE T'AIME SÉBAS !!
HÉHÉ
 
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