ti-cul

ps : lien avec le fait que jai vu amélie pour la 1ere fois cette semaine et ma feuille de numéros de téléphone perdue
bonjour, aujourdhui, je vais dire comment je trouve difficile de garder contact avec le monde, TOUT le monde.
jdirais même que cest pas mal impossible, veut veut pas, ya des personnes avec qui tes plus proches et dautres moins, et il faut des liens forts pour rester en contact à longue distance. moi qui naime pas faire de discrimination, jaimerais parler avec tout le monde que jai connu pendant kati régulièrement, mais on dirait que je suis poussé à accepter que tout le monde nest pas égal, quil y a une échelle, du plus important au moins important : qui est le moins important, je ne le sais pas, je lai oublié !
jaimerais appelé tout le monde régulièrement, mais maudit quyen a, pis encore là, yen a probablement quon svoyait car on svoyait, on ne provoquais pas la rencontre, elle était inévitable, sans quce soit désagréable. tsé le phénomène de gang : on y va en gang, sront là ceux qui sont là.
pis jvoudrais voir ceux que jpeux voir, comme ceux dans ma région malgré le fait que je vis en campagne. par exemple, amélie, comment ça sfait quon a attendu plus de trois mois avant de se voir, cherchez moi pourquoi, mais jsais pas. tsé, prendre une heure, juste pour se voir, cest mieux que rien. pourquoi jai attendu 2 mois avant dappeler hugues après mon retour, hugues, une des seules personnes que jai appelé pendant kati. marilène, ça la pris près de 3 mois pour que jla vois, marilène, fille avec laquelle que je trip à fond, jla vois comme ma soeur jumelle de parents différents. en tk.
pendant kati, jai connu plein de monde, bien sûr que je vais garder des liens plus étroits avec ceux de mon groupe même si jparle rarement à certain : jcrois que si on srevoit, ça va être pareil. mais ceux des autres groupes par exemple, ceux avec qui on na pas pu développer autant car on ne vivait pas sous le même toit, que va t il arriver : yen a avec qui jtas plus près et quon continu dcommuniquer, mais les autres... jconnais encore leur nom, et si on tombe à être dans la même ville, on va probablement se voir, mais on fra pas de détour pour se voir mettons, cest ca que je trouve difficile.
je me demande : comment faisait on dans ltemps quand yavait pas de emails ??
tsé là jai les interrurbains gratuits, mais jpeux pas passer mon temps au téléphone ! pis si quequun aimrait mparler et rester en contact, y mappellerais st cibolak !
aussi, le choc que jai eu au début : quand on laisse quequun, on dit quon va rester en contact... mais cest pas toujours le cas. ça on a dû me lexpliquer et jai encore du mal à comprendre la sincérité : ok, mettons quau moment précis des au revoir, les larmes et tout, on se dit quon sappelle et on le pense, mais quune fois rendu chacun dson bord, on ne le fait pas. pourquoi on ne le fait pas, ben ça doit pacque cest pas si essentiel que ça... et dans les deux cas, cest agir selon le moment présent, sans faker, juste suivre ses désirs. quand vient le temps dappeler, qui vas tu appeler, un dtes 3 préférés ou le 5e ?
jpeux comprendre un peu dans ce cas là. mais jaime pas la hiérarchie... grrrrrrr, comme lhumain est complexe

mais dans tute ça, ya un gros MAIS : oui mais, jai vécu de belles choses avec ces personnes, elles ont fait partie de ma vie, pourraient elles pas encore le faire sans seulement être dans mon passé ? oui elles vont toujours être dans moi et auront participé à faire cque je suis, MAIS...
cest un cercle vicieux : solution : ne plus créer de relations... wow.
lhumain nest jamais satisfait hein : peut être que si vous étiez dans mon salon vous mtaperiez sur les nerfs, mais là en cmoment, je ne déteste personne, alors dîtes vous que je vous voudrais dans mon salon.

tsssssssssssss, jsais même pas si yen a qui lisent ça

saloute
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ps : summary of what i said
ps : marie christine s correction, where she tried to keep my language... ayayaye
ps : the original version is in the comments... if you wanna laugh
Ma version: J'ai essayé de gardé le coté Sébastien dans tout ca...pas facile.
Blog on how it’s hard to stay in touch with people, ALL the people (everyone).
I would say that it’s almost impossible, because there are people that you’re closer to than others. I don’t like to discriminate, so I would like to talk to everyone I met in Kati, but it’s like I was forced to accept that nobody is equal, there is a scale, from the most important to the least : who is the least, I don’t know, I forgot him.
I would like to call them all, but man there are a lot, and there are probably people that I saw because we were at the same place at the same time : we didn’t plan to meet, even if we had fun. It’s the gang thing : we’ll see who will be there.
And I would like to see those that I can see. For example, people who live in my region. Hello, why did it take more than 3 months to see Amélie? Just take an hour and meet with, that’s it. And it’s the same for a few others. It took so long before I got in touch with them. But I understand that we have different lives.
During Kati, I met a lot of people. I’ll keep in touch with my group, that’s for sure, even if I rarely talk to some of them. But with the other group(s), what with happen with those that we didn’t have the chance to develop as much of a relation, because we didn’t live in the same house. There are some I was closer with and that I keep in touch with, but the others…I remember their names, and if we are in the same town, we’ll see each other, but we won’t take a detour to be in the same town. That’s what I find difficult.
Question: how was it possible when there was no Internet? Right now, I have free long distance calls, but I can’t be on the phone all day and all night! And if someone wants to talk to me and keep in touch, that person would call me st cibolak!
Also the shock I had at the beginning : when we leave somebody, we say that we will keep in contact…but it doesn’t always happen. I needed people to explain that one to me, and I still have difficulty understanding the sincerity: at the moment of good-bye, we think and want to call the other one, but the next day, when we’re on our side, we don’t do it. Why? Well because it’s not essential, and in both cases, is was honest at that exact moment, there’s no faking, it’s just follow your feeling. When it comes time to call, who will you call? One of your 3 favourites or the 5th one? I can understand a bit in that case. But I don’t hierarchy….grrrrr, humans are so complicated.
In all this, there is a big BUT : yes, but I lived (?) so many nice things with these people, there were part of my life, can’t they still be without only being part of my past? Yes, they will always be part of me and the contributed to who I am, BUT…it’s a circle. Solution : don’t create relationships in the future…wow. The human is never satisfied. Hey, maybe if you were in my living room with now, you would get on my nerves, but right now…I don’t hate anybody, so tell yourself that I would like it if you were in my living room right now.

saloute